26 septembre 2016

Objectif Lune !

Venez me voir à la Réunion, au Salon du livre jeunesse de l'océan Indien du 5 au 9 Octobre 2016


15 septembre 2016

Création de l'illustration pour les Castagnades 2016


Et voici l'illustration que j'ai réalisée pour les fêtes de la châtaignes en Ardèche.
de jolies fêtes à venir… venez !



12 septembre 2016

Quelle jolie critique de mon livre jeunesse "Timinou" écrit par Caroline Barber


Timinou > Caroline Barber I Marianne Pasquet Ed Bayard Canada livres, 2016, 32 pages, 5 ans et plus, 24,95 $, couv. rigide
Chat-bibelot d’une vieille dame maniérée, un félin répondant au nom évocateur de Timinou aspire à troquer sa domesticité contre l’aventure. L’adulte qui parcourt le texte une première fois pour lui-même aura peut-être une étrange impression : Timinou est un livre assez inhabituel, tant par son propos que par sa forme. Il faut le lire à un enfant pour que la magie opère! Quelle portée, que ce livre coup-de-poing! Caroline Barber maitrise l’art inestimable de laisser à ses lecteurs l’espace et la liberté nécessaires pour bâtir le récit avec elle. Certains pourraient trouver que, pour une histoire de chat, ça se termine «en queue de poisson». Pour ma part, je trouve la chute impeccable : une belle fin ouverte, propice aux discussions! Pas de morale mielleuse. Les enfants seront libres d’imaginer la suite, et ainsi de réfléchir à leurs propres aspirations. Les illustrations de Marianne Pasquet sont le résultat d’un sublime amalgame de dessins au crayon de bois, de collages de papier peint et d’aquarelles. Elles sont savamment étudiées pour répondre parfaitement au texte de Barber et sont tout aussi intelligentes que lui. Les allures expressionnistes des vieilles dames ne sont pas sans rappeler les Triplettes de Belleville. Lorsqu’on en voit quatre, grand format, remplir deux pleines pages, l’effet est saisissant : on a vraiment l’impression qu’elles vont nous ensevelir sous leurs répugnants baisers. Chapeau bas pour cet ouvrage brillant!

Merci MICHÈLE TREMBLAY, animatrice et correctrice - 
Critique extraite du site Érudit - Revue Lurelu v39 - numéro 2, automne 2016, p. 23-35